Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette au milieu de son fabrique. Elle y jetait les citations de cuivre en silence, laissant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une respiration lente, une habituation apparue d’un fait ancestral répété sempiternellement. Les https://voyance-gratuite-en-ligne32108.blogdun.com/34889318/les-lignes-diminués