Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre courbe au milieu de son atelier. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, donnant les desseins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une aspiration lente, une automatisme apparue d’un acte familial répété en permanence. Les https://voyancegratuiteenligneimm74174.blogzag.com/77896051/la-matière-qui-soutient