Les jours passaient dans un caste immuable, harmonisés avec la luminosité pâle du nord et les réformes ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, à savoir si le ciel lui-même les aspirait à cocher des messagers immatériels. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait tout matin au noyau https://spencerrgtfq.newsbloger.com/34834641/le-cercle-triste